Jérémy Pelletier, 20 ans, a su très tôt que l’usinage serait son métier. Une passion transmise par son père et son grand-père, machinistes de métier. Même s’il lui manque un bras en raison d’une malformation, il est évident que ce diplômé du Centre Bernard-Gariépy amorce actuellement une belle carrière!

Myriam Gagnon est enseignante en dessin industriel au CFP Jonquière. Elle nous parle du métier de dessinateur industriel, de la formation, de son parcours professionnel et du Défi des recrues.

Sophie Boudreau, 19 ans, de Gatineau, vient de terminer son DEC-BAC en Techniques de génie aérospatial à l'École nationale d'aérotechnique (ÉNA), un établissement d’enseignement rattaché au cégep Édouard-Montpetit. Elle nous a parlé de son expérience aux Olympiades des métiers et des technologies et son parcours académique dans un secteur où les filles sont en situation de minorité.

Kathleen Woodbury a 18 ans. Dans le programme de formation qu’elle a choisi —l’usinage —, elle était la seule fille. Cela ne l’a pas empêché de suivre sa voie; elle adore son métier et elle est déterminée à y faire sa place.

Marc-Étienne Lambert revient sur son parcours d’enseignant en dessin industriel au Centre d'études professionnelles Saint-Jérôme et les dessous de la formation et du métier. Il également vécu sa première expérience du Défi des recrues sur laquelle il revient. 

Joliane Chartier s’est reconvertie professionnellement à 30 ans en s’orientant vers un DEP en techniques d’usinage. Mère monoparentale, elle a su concilier sa vie de famille avec son emploi de machiniste. Aujourd’hui enseignante, elle transmet avec fierté son savoir-faire aux futures générations. 

Elle aurait pu continuer ses années d’études, elle a choisi l’action et la satisfaction d’un travail concret. Portée par un double DEP, Catherine Gagnon-Côté a choisi de s’investir dans un des secteurs de métier les plus masculins du Canada, celui de machiniste. Par défi personnel ? Non, simplement parce que c’est possible. Les conditions ont changé et les mentalités progressent, doucement, également. Médaillée d’or aux olympiades canadiennes en 2014, Catherine Gagnon-Côté le constate, « avec le temps, les choses s’améliorent ».